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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 12:31

http://www.rue89.com/sites/news/files/assets/image/2013/03/corrige-des-devoirs.png

 

Cela circule sur facebook. C'est évidemment complétement faux.

L'explication se situe ICI

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 19:40

http://www.freefoto.com/images/04/28/04_28_6---Pile-of-Money_web.jpg

 

 

 

 

 

 

Article du journal Libération daté du 21 mars 2012

Source AFP

Le bilan fiscal du quinquennat de Nicolas Sarkozy se solde par des allègements en faveur des 1% à 2% de Français les plus riches à hauteur de 2,5 milliards d'euros annuels, a estimé mercredi le premier syndicat des Finances publiques Union Snui-Sud Trésor Solidaires.

«Globalement, sur le plan macroéconomique, il y a bel et bien eu un allègement d'impôts, moins important que prévu, mais un allègement au bénéfice des 1 à 2% de Français les plus riches», a déclaré son secrétaire national Vincent Drezet, au cours d'une conférence de presse.

Le syndicat évalue à 7 milliards d'euros le total des allègements consentis au travers, entre autres, du renforcement du bouclier fiscal, qui plafonne les impôts directs de tout contribuable à la moitié de ses revenus, et de l'allègement de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF).

Des corrections et relèvements d'impôts sur le revenu des plus riches ont été introduits, estimés par le syndicat à environ 4,5 milliards d'euros.

«Toutes choses étant égales par ailleurs, la différence entre la situation avant le quinquennat et celle en fin de quinquennat fait apparaître une différence de 2,5 milliards», a précisé à l'AFP M. Drezet, une différence qui se maintiendrait sur les années suivantes si la fiscalité demeurait telle qu'elle est actuellement.

Les classes moyennes pénalisées

La définition des «plus riches» retenue est celle des ménages qui gagnent 100.000 euros ou plus par an, a précisé le syndicat. «Ce sont plutôt eux qui payent de l'ISF, qui utilisent le droit de donation à succession, les niches fiscales, etc», a commenté M. Drezet.

«Ces personnes-là ont bénéficié à la fois d'allègements, par exemple allègement de l'ISF de 1,8 milliard décidé en 2011, également pour certains du bouclier fiscal pendant quelques années, de l'allègement en matière de droit de donation et de succession», a-t-il expliqué.

«Le profil type du contribuable pénalisé, ce sont les classes moyennes» mais aussi «les classes modestes», a-t-il estimé, notamment en raison des hausses de la TVA.

«Il y a une ribambelle de taxes qui ont augmenté et qui sont principalement des taxes proportionnelles ou sur la consommation, qui ne tiennent pas compte de la faculté contributive des contribuables», a-t-il poursuivi.

Dès l'été 2007, le nouveau président avait renforcé le bouclier fiscal. Le début du mandat s'est aussi accompagné, avec la loi Tepa (travail, emploi et du pouvoir d'achat) votée à l'été 2007, d'une défiscalisation des heures supplémentaires.

Depuis le début de la crise, on assiste au «détricotage» du «paquet fiscal» de 2007 avec plus de prélèvements sur les revenus élevés mais une exception importante: l'allègement de l'ISF.

(AFP)

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 14:38

Bonjour,

 

Vous recevez comme moi beaucoup de courriels dénonçant le coût de notre démocratie,

mettant à mal l’image des élus. Ces courriels concourent à l’image du « tous pourris ».

Si certaines informations sont exactes, beaucoup pour la plupart sont erronées, j’essaie pour ma part

d’y répondre avec honnêteté mais aussi conviction :

-          conviction sur la nécessité de la transparence.

-          conviction sur le nécessaire coût de la démocratie.

 

Cette introduction faite, je tenais à vous faire part des mesures prises par la nouvelle majorité socialiste

du sénat qui vont selon moi dans le bon sens et qui prouvent que d’autres pratiques sont possibles.

Le dernier bureau du Sénat, qui s'est tenu le 22 février, a entériné à l'unanimité un vaste plan d'économies

concernant les sénateurs. Peu après son installation, M. Bel avait annoncé une baisse de 3 % du budget du Sénat qui s'établit à environ 350 millions d'euros.

  • Concernant les conflits d'intérêts, le bureau a décidé que tous les sénateurs feront une déclaration obligatoire sur "leurs activités ainsi que leurs intérêts et ceux de leurs proches" qui sera mise en ligne sur le site du Sénat à partir du 16 mars.
  • Au plan des économies, sont notamment supprimés les "voyages de dépaysement" (déplacements en outre-mer notamment) et diminués de 30 % les budgets des groupes d'amitiés consacrés aux voyages pour lesquels les sénateurs participeront désormais à 25 % du coût total.
  • Le nombre des bénéficiaires de voitures avec chauffeur est réduit et les cylindrées des véhicules sont baissées. Il est prévu des véhicules hybrides.
  • Sont également réduits l'indemnité journalière de mission, les crédits de réception et de représentation (de 30 % soit 140 000 euros par an), la dotation informatique, les forfaits taxi, les transports ferroviaires et aériens. L'allocation de retour à l'emploi des sénateurs non réélus est supprimée.

Je tenais à vous en informer

 

Marcel Rogemont

Député

Vice-Président de la commission des affaires culturelles et de l'éducation

tél:02.99.78.23.23

fax:02.99.59.78.02

site: http://www.marcelrogemont.net/modules/news/

profil Facebook:http::fr-fr.facebook.com:people:Marcel-Rogemont/100000182116622

suivez-moi sur twitter: @marcelrogemont

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 20:19


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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 14:11

Les classes moyennes et populaires seront les grandes bénéficiaires de notre réforme de la fiscalité. Nous voulons
rééquilibrer l’effort après des années de cadeaux fiscaux de la droite à destination des plus riches.


1. Nous supprimerons les cadeaux fiscaux aux plus riches créés par la droite et
qui sont sans impact positif pour le pays


• Aujourd’hui, plus on a des revenus élevés, moins on paye d’impôts. La droite a mis notre fiscalité à l’envers : le
taux d’imposition moyen des français est de 47% (tous impôts inclus) alors que le taux d’imposition des plus riches
tombe à 25%.


• Et en plus, les cadeaux fiscaux sont totalement inefficaces : même les députés de la majorité souhaitent les
remettre en cause !

Nous tirerons les conséquences de cette gabegie fiscale : nous supprimerons ces cadeaux fiscaux aux plus riches, ainsi que
les niches fiscales qui ne bénéficient qu’aux plus fortunés.


• Nous supprimerons, en particulier, le bouclier fiscal, qui exonère les plus riches de leur juste participation au
financement de la solidarité et des services publics.


• Nous rétablirons les droits de succession sur les héritages les plus importants, parce que la richesse doit être
d’abord méritée avant d’être héritée.


• Nous procéderons également à une évaluation précise des niches fiscales, et nous supprimerons celles qui n’ont
pas d’intérêt économique réel ou profitent exclusivement aux plus riches (fiscalité dérogatoire sur les revenus du
capital, exonérations sur les plus-values, etc.).


2. Notre réforme fiscale rétablira une juste proportion entre le revenu et l’impôt


• Notre réforme s’attaque aux deux grandes injustices de la fiscalité sur les revenus : la CSG, qui représente
l’impôt le plus lourd, n’est pas progressif ; les revenus du capital sont moins taxés que ceux du travail. Nous nous
engageons donc à :


• Rendre la CSG progressive, ce qui implique la fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG en un grand impôt
moderne, prélevé à la source. Avec cette réforme, plus de 90% des ménages paieront moins ou autant d’impôts,
alors que seuls les plus riches verront leur fiscalité augmenter.


• Aligner la fiscalité des revenus du capital sur ceux du travail, ce qui implique la suppression du prélèvement
libératoire.


• En outre, la fiscalité locale, parce qu’elle est déconnectée des revenus est injuste. Nous tiendrons compte des
revenus pour le calcul de la taxe d’habitation et de la taxe foncière, ce qui favorisera les classes moyennes.


3. Les économies que nous réaliserons permettront de financer des mesures qui bénéficieront aux classes moyennes


• Ce sont 50 milliards d’euros sur cinq ans qui seront économisés et que nous consacrerons pour moitié pour
rembourser la dette creusée par la droite et réduire les déficits et pour moitié à financer nos priorités
(éducation, santé, police, allocation d’études pour les jeunes en formation, la sécurité sociale professionnelle…).

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 14:09

N. Sarkozy s’est permis hier d’attaquer la proposition du Parti socialiste de créer des emplois d’avenir. Comment peut-il encore
oser se présenter comme le Président du pouvoir d’achat quand on voit son bilan ?
1. La défiscalisation des heures supplémentaires n’a servi qu’à détruire des
emplois – pas à augmenter le pouvoir d’achat des Français !


• La détaxation des heures supplémentaire est une mesure imbécile, unique dans le monde, critiquée par tous
les économistes, qui n’a eu d’autre effet que de subventionner le chômage.


• La mesure a détruit 70 000 emplois selon l’OFCE, selon un mécanisme que décrit précisément la Cour des
comptes : « l’accroissement de la durée du travail incite les entreprises à substituer des heures de travail aux
hommes, ce qui a un impact négatif sur l’emploi ».


• C’est une mesure très coûteuse pour les finances publiques : plus de 4 milliards d'euros par an (4,1Mds€ en
2010). Depuis 3 ans, ce sont donc quelques 12 milliards d’euros qui ont été inutilement gaspillés par l’Etat.


• Le nombre de salariés effectuant des heures supplémentaires n’a pas augmenté : un peu plus du tiers des
salariés effectuaient des heures supplémentaires en 2005, 38% après la promulgation de la loi TEPA.


• La suppression de la détaxation des heures supplémentaires n’aura aucun impact négatif sur les heures
supplémentaires - pas plus que sa mise en place n’a eu d’effet positif. Pour que les entreprises puissent donner
des heures supplémentaires sans prendre du travail à d’autres, il faut de la croissance. Hors Nicolas Sarkozy l’a
cassée, en ajoutant de la crise française à la crise mondiale.


2. Nous faisons au contraire le choix de l’emploi et de la progression des
salaires !


• Nous supprimerons la détaxation des heures supplémentaires ce qui permettra d’économiser 4 milliards
d’euros et évitera les destructions d’emplois que cette mesure provoque.


• Nous créerons 300 000 emplois d’avenir. Il s’agira d’emplois à plein temps pour une durée maximale de 5 ans,
pour un salaire correspondant au minimum au Smic, financés à 75% par l’Etat. Ce sont des emplois stables,
rémunérateurs, permettant aux jeunes de se former et de préparer l’avenir.


• Alors que 660 000 jeunes sont au chômage, que 30% vivent sous le seuil de pauvreté et qu’il faut attendre 29
ans en moyenne pour décrocher un premier CDI, la création de ces emplois nouveaux dans le secteur « non
marchand » ciblés sur des secteurs innovants, notamment le développement durable et la croissance verte
(150 000 emplois), et des territoires défavorisés permettra à des jeunes de s’insérer durablement dans
l’emploi.


• Pour mémoire, le dispositif des emplois-jeunes avait été très efficace : 85% des jeunes ayant bénéficié d’un
emploi-jeune avaient un emploi un an et demi plus tard et 72% étaient en CDI (selon un rapport de la DARES
publié en novembre 2006).
Nous proposons donc de remplacer une mesure inefficace, coûteuse pour les finances publiques et destructrice
d’emplois par une mesure d’avenir qui augmentera vraiment le pouvoir d’achat de centaines de milliers de jeunes
et de leur famille et préparera l’avenir de notre pays.

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 13:01

14 avril 2011
1. Après avoir baissé les impôts des plus riches, la droite a augmenté les
impôts des classes moyennes et populaires
• En 2007, Nicolas Sarkozy avait promis qu’il baisserait les impôts et protégerait les classes moyennes.


• Depuis son élection, il a gaspillé 40 milliards d’euros en cadeaux fiscaux pour les ménages les plus riches
et les grands groupes (loi TEPA, bouclier fiscal, TVA réduite sur la restauration…).


• Ces dépenses fiscales inutiles et injustes ont creusé les déficits . La politique du gouvernement explique
ainsi les deux tiers du déficit abyssal de la France (selon la Cour des Comptes).


• Résultat de cette politique calamiteuse : le gouvernement augmente les taxes et les impôts qui pèsent sur
tous les Français. En 2011, la hausse représente 11 milliards pour le porte-monnaie des classes moyennes et
modestes. Contrairement à ses mensonges, la droite augmente massivement les impôts. Par exemple :
o Suppression de l’avantage fiscal pour les nouveaux mariés et pacsés à compter du 1er janvier
2011 (500 millions d’euros) ;
o TVA à 19,6% sur les offres Internet « triple play » (internet, télévision, téléphonie) : (1,1
milliard) ;
o Augmentation des taxes pour financer les retraites (3,7 milliards d’euros) ;
o Augmentation des taxes pour le remboursement de la dette sociale (3,55 milliards d’euros) ;
o Taxation des avantages en nature des restaurateurs (120 millions) ;
o Taxation des associations en zone de revitalisation rurale (110 millions) ;
o Taxation des entreprises innovantes (57 millions) ;
o Moindres exonérations pour les HLM (360 millions) ;
o Suppression de l’exonération spécifique sur les salaires des emplois à domicile et des
structures agréées (460 millions d’euros)
o Abandon du crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt immobilier, etc.


• Ces hausses se reportent directement sur les prix de la vie quotidienne et les classes moyennes et
populaires sont les premières touchées.


2. Avec N.Sarkozy, la casse sociale et la hausse des impôts vont continuer


• En 2012, après 10 ans de gestion par la droite, l’état des finances publiques nécessitera des efforts : la
dette atteindra 1800 milliards d'euros, deux fois plus qu'en juin 2002 (900 milliards).


• Si le gouvernement veut atteindre son objectif de ramener le déficit public sous la barre des 3% en 2013 (60
milliards), cela implique de trouver 80 milliards d’euros en deux ans (le déficit actuelle est de 140 milliards).
Comme l’a montré la Cour des Comptes, atteindre cet objectif implique nécessairement une forte
hausse des impôts.


• Les socialistes demandent au gouvernement d’être transparent avec les Français : quels impôts seront
augmentés pour y parvenir ? Les français doivent savoir sur qui pèseront les hausses que la droite imposera de
toute façon pour réduire le déficit.


3. Un autre choix est possible : celui que proposent les socialistes
• Il y a un chemin pour rétablir les comptes publics, mais il suppose de ne pas confondre sérieux et
austérité. Ce chemin, c’est celui que nous proposons : des mesures pour raviver la croissance dès l’été 2012 ;
une nouvelle politique industrielle pour rendre cette croissance durable ; l’annulation de dépenses
fiscales injustes et inutiles voire néfastes pour l’économie.


• La politique économique que nous proposons donne les moyens à la France de retrouver à partir de
2013 une croissance autour de 2,5 %. Nous affecterons une partie des fruits de la croissance au
désendettement en maintenant la progression des dépenses publiques à un niveau inférieur à la croissance.
Mais, de même qu’il serait illusoire de vouloir redresser les comptes sans une politique économique favorable
à la croissance, il n’est pas possible de rééquilibrer nos finances, sans trouver des ressources nouvelles. Nous
procéderons également à des redéploiements pour financer sans impact sur les comptes publics une partie de
nos priorités.


4. Nous supprimerons 50 milliards de dépenses inutiles créées par la droite


• La droite depuis 2002 a créé plus de 70 milliards de dépenses fiscales inutiles, dont 40 milliards depuis
2007, décisions sans efficacité économique et injustes socialement.


• Sur ces 70 milliards, nous en annulerons 50 milliards. Pour cela, il sera procédé à une évaluation de l’utilité
sociale et économique de toutes les niches fiscales et sociales. Celles qui sont inefficaces ou trop coûteuses
seront supprimées ou re-calibrées. Cet examen concernera en particulier :
o L’impôt sur la fortune aujourd’hui « criblé » de niches et qui va être massivement réduit dès cet été
comme vient de l'annoncer le gouvernement (-40%!).
o La niche Copé de défiscalisation des plus-values de cession de filiales, qui pousse au dépeçage des
entreprises tout en vidant les caisses de l'Etat (7 milliards par an).
o La détaxation des heures supplémentaires, mesure imbécile qui coûte plus de 4 milliards par an et qui
revient à subventionner le chômage.
o Le taux réduit de TVA dans la restauration (d’un coût de plus de 3 milliards par an) qui a été mis en
place sans contrepartie en termes d’emploi et sans baisse de prix pour les consommateurs.
o Les contributions fiscales et sociales des stock-options et des bonus, qui sont aujourd’hui dérogatoires,
et qu’il faudra aligner sur celle des revenus du travail.
o Les revenus du capital, qui sont aujourd’hui moins taxés que ceux du travail, ce qui revient à favoriser la
rente sur l’activité.
o Les dispositifs de défiscalisation sur l’immobilier privé (type Scellier) qui ne font qu'alimenter la
spéculation.


5. Les économies que nous réaliserons permettront de financer des mesures qui
bénéficieront à tous les Français
• Nous consacrerons la moitié de ces 50 milliards et le 1/3 des recettes de la croissance au remboursement de la
dette creusée par la droite, que nous ferons baisser dès 2014, aux comptes sociaux, dont nous rétablirons
l'équilibre et à la réduction des déficits, que nous ramènerons en dessous de 3%.
• L’autre moitié permettra de financer les mesures et secteurs dont la France et les Français ont besoin, nos
priorités.
o L’emploi, la recherche et l’innovation, l’aide aux PME, la conversion ecologique de l'économie
o L’éducation et la jeunesse : moyens pour la réforme de l'éducation nationale, enseignement supérieur,
allocation d’études pour les jeunes en formation, droit à la formation initiale différée tout au long de la vie,
création de places en crèches…)
o La santé (création de maisons médicales, moyens pour l’hôpital public…)
o La sécurité et la justice (recrutement de 10 000 agents des forces de l’ordre supplémentaires, une justice
qui a les moyens de fonctionner, des sanctions justes appliquées rapidement…)

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Section Socialiste de Tinténiac et de Combourg

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